Il y a 5 ans, j’écrivais ceci
Il y a 2 ans, ceci
Il y a un an, cela
Nous sommes en avril 2020. Et maintenant, que vais-je faire ?
Et maintenant que vais-je faire de tout ce temps que sera ma vie chantait G. Bécaud. N’ayant pas sa verve, sa mélodie, je vais me contenter de vivre de bonheur, de bonne heure aussi (pourquoi me levais-je si tôt ces derniers temps ?).
Les années passent, l’info circule et en la matière, alors que le message est diffusé dans toutes les langues et sur toutes les ondes, il y en a encore qui pensent que le Covid-19 est dû à la retombée de poussières émanant de lancements de satellites !!!
À #Lubumbashi, certaines personnes doutent de l’existence de l’épidémie à Coronavirus. Si des dispositifs de lavage des mains sont placés devant commerces et bureaux, ailleurs tout se passe comme si de rien n’était. Les marchés sont toujours bondés de monde, les mesures des distanciations sont peu respectées, les taxis toujours bondés avec un prix à la hausse, etc.
« Je sais qu’ici à Lubumbashi il n’y a pas de Coronavirus, il n’y a aucun cas. Comme on n’a pas encore communiqué le premier qui est positif le jour où on va nous confirmer c’est alors que les gens prendront les mesures nécessaires pour se protéger », explique un habitant.
Si le Lushois n’est pas des plus respectueux des consignes et que l’on peut le comprendre, que penser alors de certains expatriés qui ne le sont pas non plus ???
Toutes ces scènes s’observent, en dépit des messages de prévention contre le Coronavirus diffusés à longueur des journées, à travers les médias et dans toutes les langues
À demain !
#FabriceSalembier #Lemondedefa #RDC #Lubumbashi #Afrique #Confinement #Pandemie #Etatdame
Mince, je pète un câble, voilà que je me parle ! Et bien non, soliloquer n’est plus une folie, c’est le résultat du confinement.