Il est des choses qui restent immuables, des rues, des bâtiments aussi. Les souvenirs remontent à la surface, l’œil les a gardés en mémoire, ils y étaient bien ancrés parce que bons. Les souvenirs, ces briques qui construisent nos vies. Ils vont et viennent, ils nous amènent à un moment du passé, retracent nos racines et ce que nous sommes même s’ils font parfois souffrir comme le disait Cervantes, “Oh mémoire, ennemi mortel de mon repos“.
A cela, je préfère Chakor et sa maxime « les souvenirs sont les confettis de la mémoire », parce que le confetti est un ustensile de fêtes. Soyons dès lors heureux de nos souvenirs.