On me dira sans doute que je me mêle de choses qui ne me regardent pas, que je ne suis ni de père, ni de mère. Je vois un peuple en souffrance, je vois, j’observe. Dois-je cependant me taire ?
RDC : il y a tant…
… d’initiatives, d’entrepreneurs locaux qui mériteraient un coup de pouce de l’État au niveau de l’exportation afin de contrebalancer l’importation et ainsi redorer le blason et du pays, mais surtout de l’économie. À quand un label #RDC et une aide du Gouvernement quant à l’obtention d’autorisations d’exportation ?
… de choses à faire pour rendre ses lettres de noblesse au niveau scolaire et ce ne sont pas des photos de réunionites aigües qui feront avancer le schmilblick. Une participation des enseignants de terrain me paraît indispensable. À quand une information à la population des idées proposées ?
… d’urgences que l’on zappe pour un meilleur confort personnel au nom du creux slogan « le peuple d’abord ». À quand le passage des promesses aux actes ?
… de réelles possibilités de pouvoir dire non aux bailleurs de fonds pour qui l’intérêt n’est pas le pays et sa population, mais bien les richesses de son sous-sol. À quand le moment où le non ne devra plus se justifier ?
… de fariboles qui noient le poisson qu’on doute de plus en plus de la volonté des uns et des autres de sortir le pays du marasme dans lequel il siège depuis trop longtemps. À quand, oui, à quand une véritable prise de conscience suivie d’actes pour que l’on en revienne à l’essentiel ?
… d’eau au pays pour que chacun puisse en disposer, qu’elle puisse alors faire en sorte que l’électricité soit également accessible à tous. À l’eau, quoi ! À quand les actions « potables » en ce sens ?
Il y a tant, il y a tant… et le temps passe…
Oui, il n’y a pas qu’Éric qui a des états d’âme #comprennequipourra ou qui voudra !