J’adore pratiquer le second degré mais pas avec tout le monde : il faut s’assurer avant que les personnes soient au même étage… Parfois, j’utilise le 3ème, voire le 4ème… Et si je constate que cela est impossible, je redescends aussitôt au rez-de-chaussée afin, si nécessaire, de passer à la cave.
Mais ne me demandez pas de prendre l’ascenseur car il peut mener à l’échafaud.
Note explicative :
- Le second degré, c’est l’art de l’ironie…
- Dans le cas présent, étages et degrés se confondent…
- Le rez-de-chaussée ne signifie en aucun cas être au ras des pâquerettes…
- Passer à la cave, dans ce contexte, est une invitation que je me lance …à me taire.
- Ascenseur… Echafaud, je vous renvoie à Louis Malle en 1958… Le crime (presque) parfait.
Note explicative de la note explicative :
- L’ironie, c’est une espèce de décalage entre le discours et la réalité.
- Etre au ras des pâquerettes, ce n’est pas les cueillir mais bien, intellectuellement, ne pas « être très haut »…et cela n’a rien à voir avec la taille.
- Et la cave, c’est le sous-sol et c’est à ce moment-là que je préfère me taire.
Et si, par le plus grand des hasards, quelque chose vous échappe encore, je vous laisse le soin d’en tirer les conclusions.
À demain !
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