Chère amie, cher #ami, oui, très chers, vous me permettrez cette familiarité, nous sommes tout de même dans et sur le même bateau.
Si j’ai décidé de prendre la #plume, c’est pour vous faire part, après une réflexion approfondie, d’un questionnement que j’aime à qualifier de naturel.
#Pourquoi, chère amie, cher ami ?
J’aimerais connaître la #vérité, ce concept tant bafoué. La vraie, pas celle évoquée dans vos missives empruntées, puériles, voire même fallacieuses. La vraie, celle qui me permettrait d’avancer.
Je ne sais en effet pour quelles raisons vous avez, dès votre arrivée, mis en doute mes #compétences alors que les vôtres ont rapidement montré leurs limites. Avouez que cela fait plaisir à #lire, non ?
Ma plume s’est en effet imprégnée de votre manque de #considération, les mots qui en coulent sont dès lors le reflet de votre #âme ; sombre, mesquine. Elle ne laisse certes pas indifférent, sans quoi cette lettre n’aurait pas lieu d’être. Il me fallait vous l’écrire, le dire aurait sans doute été plus violent.
Je sens le soufre monter, le sentez-vous aussi ?
Chère amie, cher ami, je vous écris vainement, je le sais. Le temps me donne raison. Je n’attends plus de réponse. Votre #couardise, au nombre de vos autres qualités, n’en est point capable. Vous ne serez jamais seuls, elle vous accompagne.
Chère amie, cher ami, je ne vous remercie pas des moments passés ensemble, je n’ai pas la prétention de l’#hypocrisie, juste celle du #sarcasme.
PS : toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé serait purement fortuite…ou pas !