Jocelyn Danga est né à #Kinshasa d’une famille de 4 enfants. Le latin, la philo et la littérature baignent ses humanités. A l’université il étudie les Sciences de l’Information et de la #communication (spécialisation dans la communication des organisations). Célibataire, sans enfant, il se dit passionné par l’écriture et le raisonnement.

« J’ai commencé l’écriture par la chanson : dès mon plus jeune âge, j’avais 9-10 ans, je me suis mis à créer et pousser la chansonnette dans mon entourage. On m’a d’ailleurs encouragé à les coucher sur papier, ce que j’ai fait plus tard. Ce sont d’ailleurs les chansons qui m’ont amené à la poésie… »
Pour toi, que signifie écrire ?
Ecrire, pour moi c’est poursuivre l’œuvre de la création.
La #littérature, plus qu’une passion ?
JD : Oui oui. Ma dernière publication est une pièce de théâtre : « Le large », publiée aux éditions l’Harmattan. Il est aussi en vente à Lubumbashi à la librairie Blue Jacaranda. J’ai également d’autres projets en cours.
Comment vous est venu l’idée de participer au challenge #DeuxMinutesDeLecture ?
JD : A la base, c’est Tata Nlongi qui voulait bien lire ce bout de texte. Mais il n’assumait pas à cause de tout son public facebook. Moi ça ne me dérangeait pas. Et puis, « Ebanba », je venais de le lire à l’occasion d’un projet de l’Institut Français de Kinshasa, la 7e fête du livre. C’est après que Tata Nlongi en a aussi fait un concours.
Quels sont vos futurs projets ?
JD : Il y a « Ipéca, le pardon qui saigne la voix », il y a « Coffre numéro 015 » qui sont tous des #projets de #théâtre pour lesquels je suis en travail d’écriture avec notamment le collectif Texte en scène du Bénin et Fia Maloba à Kinshasa. Mais ce sont des projets qui seront probablement publiés qu’à partir de 2021.
Un rêve ?
JD : Faire le tour du monde.
Comment le confinement est-il vécu à Kinshasa ?
JD : Comme ci comme ça, pas comme ci. C’est dur à décrire…