Si, pour Marcus Boni Teiga, fondateur de Courrier des Afriques, « la béninoiserie » peut être définie comme une « propension caractérielle à nuire ou a dénigrer autrui avec préméditation, et cela sans raison aucune que le fait de ne pas être à la place de l’autre », il part également du principe que toutes autres définitions ne feraient qu’enrichir la polysémie du vocable.
Il ne m’en fallait pas tant pour y aller de ma maigre contribution en voyant en ce mot un côté cocasse, amusant. J’y vois aussi du second degré – Je sais, je me répète souvent -, une pincée sel et une bonne dose de piment (quoi de plus normal) !
La béninoiserie est au Bénin ce que la connerie est au monde et à choisir entre les deux, au vu de la définition que je m’en fais, j’opte aisément pour la première bien plus drôle et moins nocive que la seconde.
Et puis au diable les …chinoiseries et bises au chat